Ca manque un peu de smileys, mais bel hommage

https://twitter.com/mohamedbouhafsi/status/729069127999066112

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Je comprends, faut être un gros gros suceur pour réussir et percer, high level les amis

Au revoir à tous

https://twitter.com/AntSalesses/status/729332542340509696

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Bon, ben la rumeur c'est Xavier Niel.
Me demande ce qu'il viendrait faire dans cette galère....
Seul avantage: suicide d'asaul a venir.

Info le 10Sport, c'est de la merde en barre non ?

« C'est un pur fantasme. Xavier ne s'intéresse pas du tout au foot. Je viens de lui reposer la question il y a 5 minutes !», a fait savoir ce proche du milliardaire dont la fortune est estimée à 7,8 milliards d’euros.

Rumeurs de nouvelles mises en examen demain
Riolo qui lache aussi tranquille que les écoutes sont accablantes pour Deschamps...

L'histoire sans fin les rats

Faut encore acheter le canard ?

Mais j'ai toujours pas fini celui de la semaine dernière

Rumeurs de nouvelles mises en examen demain
Riolo qui lache aussi tranquille que les écoutes sont accablantes pour Deschamps...

L'histoire sans fin les rats

Les transferts de l’OM et les notes manuscrites de Deschamps

L’ancien entraîneur de l’OM était-il au courant des transferts et des salaires? Didier Deschamps se défend comme un lion. Antoine Veyrat, l’ancien DG de l’OM, mis en examen, a transmis des notes au juge Cotelle, dont un paperboard avec noms et salaires de la main de Deschamps.

Lors de son audition devant la police comme témoin dans l'affaire des transferts présumés douteux du club marseillais, Didier Deschamps a été clair : "L'aspect financier et les salaires ne m'ont jamais intéressé plus que ça. Je ne rentre pas dans ces discussions, ce n'est pas de mon ressort." Durant toute son audition, le 21 mai 2015, l'actuel entraîneur des Bleus, entraîneur de l'OM de 2009 à 2012, a reconnu qu'il avait entendu "des bruits", mais rien vu ni rien su concernant les aspects financiers : "Quand j'étais à l'OM, je voulais recruter certains joueurs, et certaines personnes intervenaient sur les dossiers ou se greffaient sur les joueurs. Tout cela me semblait relativement planifié et organisé", a-t-il admis.

Mais Deschamps réfute, pour sa part, avoir subi toute pression ou menace : "Bon, peut-être qu'ils savaient qu'ils ne devaient pas s'amuser avec moi." L'actuel patron de l'équipe de France reconnaît que certains joueurs de l'OM, notamment ceux qui "étaient désignés pour partir", ont pu "avoir des soucis, avec cambriolage à la clé notamment". "La spécificité, a déclaré le coach lors de son audition, est que lorsque les joueurs arrivent à Marseille, ils sont surpayés, et du coup, quand ils partent ailleurs, ils retrouvent une normalité et négocient leur départ avec indemnités au mieux avec l'OM."

Veyrat n'entend pas porter le chapeau seul

Toute l'affaire est ainsi résumée à grands traits, mais des détails financiers, Didier Deschamps affirme n'avoir jamais été au courant… "C'est totalement nébuleux tout ça, je le découvre." Deschamps insiste : "Je ne me suis jamais intéressé au volet des agents." Pourtant, un document produit par l'ancien directeur général de l'OM Antoine Veyrat semble contredire l'entraîneur. Antoine Veyrat, via son avocate, Me Marie-Laure Barré, a écrit au juge Cotelle pour lui communiquer deux pièces identiques, deux pages de paperboard : "Mon client sollicite que vous l'entendiez afin de préciser dans quelles conditions ces documents ont été rédigés", écrit l'avocate.



Sur le paperboard, à côté des noms, le montant des transferts et des salaires.

Mis en examen, comme son président Jean-Claude Dassier, Antoine Veyrat n'entend pas porter le chapeau seul : "Dès son embauche, il lui a été indiqué qu'il lui appartenait de s'appuyer sur les compétences nécessaires et internes à l'OM", écrit l'avocate. Devant les enquêteurs, Antoine Veyrat a ainsi expliqué qu'il devait "se baser sur l'avis du directeur sportif, Anigo, et de l'entraîneur, Deschamps… À l'été 2009, nous faisions régulièrement des revues d'avancement sur les transferts, à quatre, Deschamps, Anigo, Dassier et moi-même. Chacun donnait son avis sur les montants souhaitables, sur les salaires et les transferts", a assuré Veyrat sur procès-verbal. "Sur le document sur lequel Deschamps avait dressé son équipe, il avait aussi indiqué les montants de salaires et de transferts correspondant selon lui à chacun des joueurs"… En clair, Antoine Veyrat entend démontrer que les montants et les sommes en jeu n'étaient nullement ignorés de l'entraîneur. L'ancien directeur général a donc transmis "deux paperboards de la main de M. Didier Deschamps", comme l'écrit son avocate dans son courrier au juge.

"Moi, je disais les joueurs que je souhaitais, c'est tout"

Interrogé par le JDD vendredi, l'actuel patron des Bleus a d'abord réagi en assurant "ne pas se souvenir avoir écrit sur un paperboard". Puis, devant le document, hier, il a reconnu son écriture. "Je ne me souvenais pas de cela, mais c'est bien mon écriture, confie-t-il. Je pense que c'était une réunion technique avec Pape Diouf et Julien Fournier, en prévision de la saison à venir, avec des joueurs susceptibles de partir et d'arriver. Mais en aucun cas je ne peux laisser dire que je connaissais les montants des salaires et des transferts! Ces informations m'étaient données par les dirigeants. Moi, je disais les joueurs que je souhaitais, c'est tout."

Calme, "droit dans ses bottes", Didier Deschamps ne s'agace même pas que certains semblent "le chercher" dans l'affaire de l'OM. "J'affirme que je ne me suis jamais occupé d'une négociation de transfert ni d'un montant de salaire de joueur! C'était le travail des dirigeants. Comme j'affirme aussi, concernant mon départ du club, qu'en mai 2012, après une réunion où les conditions de travail n'étaient pas réunies pour exercer normalement ma fonction d'entraîneur, il y a eu une transaction, avec un dossier de plusieurs pages sur mes conditions de travail et le harcèlement que j'ai subi. Je n'ai jamais été démissionnaire et je n'ai jamais démissionné de l'OM, mais là-dessus, un protocole d'accord a été trouvé et signé en visioconférence avec plusieurs avocats autour de la table. Ce n'est qu'après que j'ai été sollicité par l'équipe de France", assure le coach au JDD. Deschamps se défend. Zen. Calme, comme il a toujours été sur le terrain. Le ballon est dans le camp du juge Cotelle.

Si Deschamps pouvait tomber.

Presque équivalent à une victoire en C1 en terme de kif.

Si Deschamps pouvait tomber.

Presque équivalent à une victoire en C1 en terme de kif.

N'Koulou et Mandanda sont bien en fin de contrat ?

C'est ça?

Si Deschamps pouvait tomber.

Presque équivalent à une victoire en C1 en terme de kif.

Riolo dit que le média qui a les écoutes hésite à les sortir parce que ca pourrait faire du degat avant l'Euro

N'importe quoi ces mecs...

Les écoutes datent de quand? Comme par hasard tout sort à point nommé et là ils font les baltringues?

En tout cas on est mercredi, jour du canard et apparemment, rien n'a filtré...

Si après Platini, Deschamps venaient à tomber, ça en ficherait un coup à "l'institution" France.

Si après Platini, Deschamps venaient à tomber, ça en ficherait un coup à "l'institution" France.

Manquerait plus que Zidane se soit dopé à la Juve. On me dit dans l'oreillette....

Il a pas precisé ni c'est sur quelle aiffaire
juste que le médi en possession des écoutes n'est pas un média sportif il doit y avoir pas mal de ression

C'est ça?



http://www.lejdd.fr/Societe/Justice/Les-tr...eschamps-784389

Les cambriolages comme coup de pression...

Que fait Menez dans la liste ?
Il y avait eu des pistes à l'époque ?

http://sport24.lefigaro.fr/football/fil-in...t-a-l-om-490268

http://www.footmercato.net/ligue1/transfer...de-signer_69842

On l'a échappé belle je l'aime encore plus

Les South Winners dans le collimateur des enquêteurs

Les enquêteurs de la police ont mis au jour une connivence entre le club de supporters de l'OM South Winners et José Anigo, l'ancien directeur sportif, pour déstabiliser l'entraîneur en 2012, Didier Deschamps. L'enquête pointe le rôle trouble de cette association de supporters fondée en 1987.



Dans un rapport de synthèse d’octobre 2014, les policiers de la Brigade Nationale de Lutte Contre la Criminalité Organisée Corse, installée à Paris, s’intéressent aux South Winners. Ce club de supporters de l'OM a fait l’objet d’investigations poussées, les enquêteurs ont passé au crible le fonctionnement et l’organisation de cette association fondée en 1987.

27 000 places cédées à prix réduit
Le capitaine de police s’interroge sur l’organisation générale des clubs de supporters qui est une source de déficit pour l’OM. A l’époque de la rédaction du rapport, l’Olympique de Marseille "fait un cadeau annuel unique en France" en ne vendant pas ses billets directement aux abonnés, comme c’est le cas pour les tribunes latérales, un usage mis en place en 1987 pendant la période Tapie. Les 27 000 places sont cédées à prix réduit aux neuf groupes de supporters organisés en associations.

Un manque à gagner de 900 000 euros
Le manque à gagner financier pour l’OM est évalué à environ 900 000 euros. Le club a mis fin à cette pratique le 4 février dernier en passant un accord historique avec les associations de supporters. Dans leur enquête, les policiers ont constaté une connivence entre certains dirigeants du club et ceux des associations de supporters pour faire pression sur l’entraineur et les joueurs.
Rachid Zeroual, ici en 2014. © Maxppp

© Maxppp Rachid Zeroual, ici en 2014.

Les South Winners, leur vice-président et leur influence
D’après les enquêteurs, Rachid Zeroual, le vice-président des South Winners, entretient des relations ambigües avec les dirigeants de l’OM. Il est régulièrement présent dans les bureaux de la Commanderie (le siège du club), participe quelquefois à des réunions d’état-major ou participe à la préparation du journal d’OMTV. C’est un proche de José Anigo, le directeur sportif, il déjeune souvent avec Vincent Labrune.

Une rixe avec des supporters
Le profil de Rachid Zeroual est détaillé. On apprend qu’il a été salarié de l’OM en 2003, son contrat est rompu au 1er trimestre 2004 suite à une rixe avec d’autres supporters dans le stade Vélodrome. Six faits de violences sont répertoriés et sa condamnation en 2012 à un an de prison et deux ans d’interdiction de stade. Sous le chapitre "Les South Winners : un groupe de supporters pas comme les autres du fait de la personnalité de son vice-président Rachid Zeroual", les enquêteurs parisiens relèvent l’influence exercée par les South Winners sur le club et ses dirigeants, notamment à travers des écoutes téléphoniques. Le 22 octobre 2011, Didier Deschamps appelle Jean-Pierre Bernès (son agent). Au cours de la conversation, l’entraîneur parle de son entrevue avec Rachid Zeroual :

Et le Zeroual, là, tu sais ce qu’il me dit à un moment ? Tu sais le vrai Marseillais un peu quoi ? Il me dit : (Deschamps imite la voix de Zeroual) toi, au moins, tu es tranquille, tu vas pas te prendre une gifle comme Fernandez ! Toi, tout le monde sait qu’on ne peut pas t’approcher (rires)"



Le 3 mai 2012, autre conversation téléphonique entre les deux hommes. Didier Deschamps reprend des propos tenus par Vincent Labrune concernant Rachid Zeroual et ses liens avec le trafic de drogue :

tu crois que moi je vais m’attaquer à lui après, je vais avoir des représailles, quoi…"


Commentaire de Didier Deschamps : "Tu sais qui c’est Rachid ? C’est le seul qui tient par les couilles José, quoi…"
José Anigo en 2014. © Maxppp

© Maxppp José Anigo en 2014.

La guerre Anigo/Deschamps et l’épisode de la banderole anti-Deschamps
28 mars 2012, l’OM reçoit le Bayern de Munich en quart de finale de Ligue des Champions. Une banderole portant l’inscription : "Deschamps et tes joueurs cassez-vous" est déployée dans le virage sud, la place forte des South Winners. La banderole restera en place pendant toute la première mi-temps du match. D’après les enquêteurs, Rachid Zeroual a apporté une grosse contribution à l’affichage de cette banderole tout en n’étant pas l’instigateur de l’idée. José Anigo aurait encouragé les supporters à se rebeller contre l’entraîneur, et savait, avant même le coup d’envoi du match, que la banderole allait être affichée à la vue de tous.
La banderole déployée par les South Winners en mai 2012 lors du quart de finale de la Ligue des Champions contre le Bayern de Munich.

La banderole déployée par les South Winners en mai 2012 lors du quart de finale de la Ligue des Champions contre le Bayern de Munich.

La peur de Labrune
Suite à cet épisode, dans une conversation téléphonique du 3 mai 2012, Didier Deschamps rapporte à Jean-Pierre Bernès, que Vincent Labrune n’était pas intervenu immédiatement pour faire retirer la banderole parce qu’il craignait pour sa personne :

Non mais qu’est-ce que vous croyez que je vais aller là-haut moi, enlever cette banderole ! Je vais me prendre deux balles dans le dos"


Les comptes bancaires des South Winners et de Rachid Zeroual
L’analyse financière laisse apparaître qu’entre 2008 et 2013 l’association South Winners a versé la somme de 370 533 euros en 10 paiements à la société Espagnole Cesar Editions Unipe SL. Cette entreprise édite le magazine OM Plus, le Magazine des supporters de l’Olympique de Marseille. Parmi les administrateurs de Cesar Edition se trouve un ancien patron de l’OM Jean-Michel Ripa. Selon le rapport de synthèse de la Brigade Nationale de Lutte Contre la Criminalité Organisée Corse, installée à Paris, Jean-Michel Ripa serait le lien qui permettrait d’expliquer l’existence de flux financiers entre d’une Rachid Zeroual et Cesar Editions et d’autre part entre cette même société et l’association des South Winners. Les policiers s’interrogent sur la réalité économique des flux financiers et se demandent si Rachid Zeroual n’aurait pas détourné des fonds à son profit au préjudice de l’association South Winners par l’intermédiaire de Cesar Edition.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/pro...urs-995375.html

Enfin

Si ces putes tombent

C'est cool toutes ses révélations depuis quelques semaines, vont-elles mener vers des vraies sanctions ? J'espère que non.

On s'en bat les couilles, c'est quand le Deschamps day?

On s'en bat les couilles, c'est quand le Deschamps day?

Bon, pour se consoler, Rekik et Diaby veulent rester.
Et le repreneur est décidément tres tres discret.