Citation (joroto @ 22/05/2017 21:34)

Henrique à peut être déjà pris le temps d'etudier son potentiel futur poste, il partira pas de 0 j'ose espérer le jour de l'officialisation.
A priori Henrique aurait fait une présentation à Nasser de son projet pour le club lors de ses entretiens.
Il semble moins axé recrutement que Berta mais pourrait avoir une vision plus globale pour le club.
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PSG : Antero attend des garanties
Posté le 11 mai 2017 20:55 NICOLAS VILAS SFR SPORT
D.R FC Porto
INFO SFR SPORT - En quête d’un directeur sportif pour la saison prochaine, le Paris SG poursuit les discussions avec Antero Henrique. Actuellement sur Paris, l’ancien boss du foot du FC Porto requiert certains gages.
Mais qui sera donc le prochain patron du foot du Paris-SG ? Olivier Létang a acté son départ et se prépare à assumer ses nouvelles fonctions au sein de Sports Invest, la structure de l’homme d’affaires Kia Joorbachian. Les dirigeants parisiens bossent à sa succession. Le chemin menant à Monchi s’est arrêté à Rome. Et voilà qu’Antero Henrique (re)fait surface.
Antero est en discussions avec le PSG. Au Qatar, il y a quelques jours, il est sur Paris depuis ce mercredi. C’est l’agent argentin (conseiller de Pastore, notamment) Marcelo Simonian qui l’a proposé au président Nasser Al-Khelaïfi. Précision : Antero Henrique n’est pas un « proche » de Mendes qui, lui, sait déjà composer avec… Nasser. Antero n’est pas le seul dossier sur la table du boss parisien. Et le Paris-SG n’est pas le seul club intéressé par ses services. Outre la France, les appels affluent d’Angleterre, d’Italie ou encore d’Espagne, notamment à Séville où certains voient en lui le successeur idéal de Monchi. Le natif de Trás-os-Montes veut toutefois des garanties. Notamment celles qu’il aura les coudées franches. A Porto, Antero gérait tout – ou presque. Rien – ou presque - n’était laissé au hasard.
Un touche-Ã -tout
Antero, un nom qui fait écho depuis trois ans, au Parc des Princes. Cette fois-ci, l’homme est libre. Il a démissionné de son poste d’administrateur du FC Porto, en septembre dernier « pour raisons personnelles ». Il garde encore un rôle de représentant des Dragons au sein de la Ligue et de la fédé portugaise. Discret – ses sorties médiatiques sont rares – travailleur, le Portugais de 49 ans a façonné un impressionnant réseau au cours de ses années Porto où il est passé de coordinateur du magazine du club (Dragões) en 1990, à bras-droit de Pinto da Costa, en passant par le service de presse ou les relations internationales.
C’est en 2005 qu’il devient le boss du foot portiste. Il assure la transition au lendemain des succès européens de 2003 (C3) et de 2004 (C1). Le fameux slogan « Somos Porto » (« Nous sommes Porto ») est né durant son mandat. Le genre de symbole qui peut plaire à des Parisiens en quête d’identité et de renforcement institutionnel. Il a encore œuvré au remodelage du département de scouting en mettant en place un impressionnant réseau de supervision à travers le monde. Antero a également tenté de rebooster la formation du FCP avec le projet Visão 611.
Avoir les coudées franches
Mais difficile de diriger lorsque les décisions deviennent partagées. Sur la fin de son expérience portiste, Antero a dû tenter de composer avec les « retours » d’Alexandre Pinto da Costa (le fils du président) et de Jorge Mendes, tous deux agents. Sans grands résultats. S’il n’est pas champion du Portugal en cette fin de mois, le FC Porto entamera sa quatrième année sans trophée. Une éternité dans l’ère PdC. Le genre de situation « coexistentielle » qu’Antero veut éviter de revivre.
S’il s’engage au Paris-SG, il entend apposer sa façon de travailler. Le PSG est-il prêt à lui offrir cette garantie ? Saura-t-il le convaincre d’être moins intransigeant ? Ou misera-t-il sur un autre homme ? Le jeu des négociations se poursuit.