Au dela de nos performances européennes, le marché a aussi changé depuis l'arrivée de QSI.
Quand les qataris sont arrivé, ils étaient quasiment les seuls en Europe à pouvoir proposer (ou accepter de proposer) 15, 20 millions de salaire par exemple.
C'était notre argument premier, on pouvait proposer des niveaux de rémunération plus elevé que les autres pour attirer les stars. Leonardo a su profiter de cette situation et faire son marché en série A.
Aujourd'hui avec l'explosion des droits TV et le FPF, les grands clubs européens peuvent proposer des salaires équivalent ou plus elevé que nous. De ce fait, on est plus vraiment compétitif pour attirer les stars, on est redescendu d'un cran et on doit faire notre marché en priorité sur la catégorie inférieure.
Quand les qataris sont arrivé, ils étaient quasiment les seuls en Europe à pouvoir proposer (ou accepter de proposer) 15, 20 millions de salaire par exemple.
C'était notre argument premier, on pouvait proposer des niveaux de rémunération plus elevé que les autres pour attirer les stars. Leonardo a su profiter de cette situation et faire son marché en série A.
Aujourd'hui avec l'explosion des droits TV et le FPF, les grands clubs européens peuvent proposer des salaires équivalent ou plus elevé que nous. De ce fait, on est plus vraiment compétitif pour attirer les stars, on est redescendu d'un cran et on doit faire notre marché en priorité sur la catégorie inférieure.
En réalité, on fait toujours partie des 6-7 clubs à pouvoir réaliser des transferts à 60M+ et 10M+ de salaire.
Par contre au niveau sportif on en a pris un coup, avec la perte du binôme Leo/Carlo et la stagnation en 1/4 (puis régression en 1/8). D'autre part, on ne part plus d'une page blanche comme à l'époque, et il y a aussi des concurrents qui se sont remis en selle sportivement : la Juve (qui se reconstruisait tout juste à l'arrivée de QSI), Chelsea, MU. City a gagné de la crédibilité avec l'arrivée de Guardiola. Les deux clubs de Milan risquent aussi de devenir une menace dans 2-3 ans si ils réussissent à accrocher la C1.
On est donc dans un contexte plus concurrentiel qu'à l'époque à ce niveau. On est plus le projet "à la mode" en Europe et en plus on doit faire du recrutement de plus en plus ciblé. L'équation n'est pas évidente, et en plus on se rajoute des handicaps avec notre direction sportive flottante.